13 juin Autochtones / Métis Pierrot Ross-Tremblay se penche sur l'oubli culturel chez les Premiers Peuples Réflexions d'un intellectuel innu sur la condition autochtone En poste depuis 2014, Pierrot Ross-Tremblay est directeur du département de sociologie et professeur à l’Université...
Lancement officiel de la revue littéraire francophone des Prairies À ciel ouvert prend son envol SASKATOON - Le jeudi 25 mai 2017, le premier numéro de la revue littéraire en ligne À ciel ouvert a été...
Témoignage émouvant au Forum Santé 2017 Vivre avec un enfant différent SASKATOON - Les parents aiment raconter la vie de leurs enfants. Mais qu’en est-il de ces familles qui ont des enfants...
Quand le bilinguisme devient une synergie communautaire Soirée en français du Performers Café de Moose Jaw MOOSE JAW - Le 25 mai dernier, une nouvelle édition du Performers Café s'est tenu à Moose Jaw.
Soirée Paroles et musique : Hommage aux bénévoles REGINA - Le comité organisateur du pavillon francophone a organisé la soirée pour remercier les bénévoles...
18 février 2019 Simb Simb 41952 Archives, 2019, Communautaire, Regina, Société, Immigration, Mon métier, ma passion Job Wilfried Coffi Comlan: Du Bénin à Regina Gens d'ici Job Wilfried Coffi Comlan REGINA - Arrivé au Canada il y a moins de 6 mois, Job a vécu pendant 2 mois dans la province de Québec avant de s’installer en Saskatchewan, et plus précisément dans la ville de Regina. Job est né et a grandi dans la capitale du Bénin, Cotonou. Après ses études secondaires, il opte pour une formation universitaire qui sera couronnée par une licence (équivalente au baccalauréat du Canada) en finance et comptabilité. Job avoue que « c’est l’exploration de nouveaux cieux ainsi que la recherche de nouvelles conditions de travail » qui ont pesé lourd dans son choix d’immigration. Mais « une fois au Québec, mon premier objectif a été de trouver un emploi dans mon domaine de prédilection et de formation, à savoir la gestion en finance et comptabilité. Mais j’ai dû faire face à un obstacle, l’exigence du bilinguisme », ajoute-t-il. Job quittera donc le Québec pour la Saskatchewan afin d’améliorer son anglais, car selon lui, vivre dans un contexte purement anglophone l’aidera à améliorer son niveau de langue anglaise. Comme pour dire qu’il faut reculer pour mieux sauter. Actuellement, Job occupe un poste de moniteur de langue française dans des écoles d’immersion française. Il faut dire que ce nouvel emploi a fait naître en lui la nostalgie de l’enseignement, une profession pour laquelle il nourrissait d’ailleurs l’espoir d’exercer depuis le Bénin. Ce qui du coup l’amène à penser à une réorientation de carrière : « La probabilité est forte que je fasse un bac en éducation pour intégrer le monde de l’enseignement. » Son adaptation climatique se fait non sans difficulté, car partir d’un pays excessivement chaud pour un pays démesurément froid n’est pas du tout facile à gérer. Parlant de son adaptation culturelle, il a été frappé par le côté sociable des Saskatchewanais et francophones d’ici. L’objectif premier de Job est de mener à bien la réunification familiale, car sa petite famille étant restée au Bénin, il s’est avancé pour lui préparer une place à ses côtés au Canada. Partager Imprimer