13 juin Autochtones / Métis Pierrot Ross-Tremblay se penche sur l'oubli culturel chez les Premiers Peuples Réflexions d'un intellectuel innu sur la condition autochtone En poste depuis 2014, Pierrot Ross-Tremblay est directeur du département de sociologie et professeur à l’Université...
Lancement officiel de la revue littéraire francophone des Prairies À ciel ouvert prend son envol SASKATOON - Le jeudi 25 mai 2017, le premier numéro de la revue littéraire en ligne À ciel ouvert a été...
Témoignage émouvant au Forum Santé 2017 Vivre avec un enfant différent SASKATOON - Les parents aiment raconter la vie de leurs enfants. Mais qu’en est-il de ces familles qui ont des enfants...
Quand le bilinguisme devient une synergie communautaire Soirée en français du Performers Café de Moose Jaw MOOSE JAW - Le 25 mai dernier, une nouvelle édition du Performers Café s'est tenu à Moose Jaw.
Soirée Paroles et musique : Hommage aux bénévoles REGINA - Le comité organisateur du pavillon francophone a organisé la soirée pour remercier les bénévoles...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16578 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer