14 mai Santé Conférence d'Hubert Gauthier au Forum santé 2017 Santé en français: Il faut voir grand " J’aime toujours rappeler aux gens que si on n’a pas d’ambitions importantes on va faire des choses à la petite...
Atelier offert à Saskatoon Soins de santé : engagement et diversité culturelle Le respect de la diversité culturelle joue un rôle majeur dans l’efficacité des soins de santé offerts par nos...
13 raisons de vivre La nouvelle série Netflix « Treize raisons » présente les l’histoire d’une adolescente qui a...
Réaction de la FCFA au rapport du Comité permanent des langues officielles... Un message unanime pour le plein respect du droit à l'éducation en français Il faut que tous ceux qui ont droit à l’éducation en français soient comptés lors du prochain recensement.
Une littérature fransaskoise en plein essor Colloque sur l’écriture à Regina Quatre auteurs fransaskois ont participé à une table ronde le 18 avril 2017dans l’agora de La Cité universitaire de...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16578 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer