28 avril Postsecondaire La Cité Universitaire francophone célèbre ses talents REGINA - L’ambiance était électrique à la Cité universitaire francophone mercredi 12 avril, lors du 5 à 7...
Un film de Benoït Pilon Ce qu'il faut pour vivre (2008) L’histoire se passe en 1952 alors qu'un Inuit nommé Tivii est transporté de L’île de Baffin à un...
Emmanuel Aïto à la direction de la Cité universitaire francophone REGINA - Directeur par intérim de la Cité universitaire francophone depuis août 2016, Emmanuel Aïto a été...
Atlas des oiseaux nicheurs de la Saskatchewan Alors que le printemps s’installe en Saskatchewan, les oiseaux migrateurs commencent à revenir s’installer, ou sont de passage...
Coup d'oeil sur l'histoire des bibliothèques saskatchewannaises Le sort de nos bibliothèques En 1914, une initiative innovatrice a été mise en action par la bibliothèque de l’Assemblée législative:...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16578 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer