28 avril Littérature Madeleine Blais Dahlem remporte l'édition 2017 Sask Book Awards : Prix du livre francophone L'auteure fransaskoise Madeleine Blais-Dahlem le Prix du livre français des Saskatchewan Book Awards pour son...
À 81 ans Dale Sanders tente de marcher 3500 km À 81 ans, Dale Sanders veut devenir la personne la plus vieille à compléter les 3 508 kilomètres du sentier des...
Un film de Benoït Pilon Ce qu'il faut pour vivre (2008) L’histoire se passe en 1952 alors qu'un Inuit nommé Tivii est transporté de L’île de Baffin à un...
Emmanuel Aïto à la direction de la Cité universitaire francophone REGINA - Directeur par intérim de la Cité universitaire francophone depuis août 2016, Emmanuel Aïto a été...
Atlas des oiseaux nicheurs de la Saskatchewan Alors que le printemps s’installe en Saskatchewan, les oiseaux migrateurs commencent à revenir s’installer, ou sont de passage...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5271 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer