16 mars Agriculture et environnement 24e journée mondiale de l'eau L’inondation nous met face à nos responsabilités On prend l’eau pour acquis jusqu’à ce qu’on en soit privé ou inondé. L’inondation nous pousse...
Il y a plus d’enfants autochtones dans le réseau d’aide à l’enfance que dans... Les enfants et la discrimination contre les Premières Nations À la Saint-Valentin, plus de 700 enfants autochtones et non-autochtones se sont rassemblés sur les marches de la colline du...
L’ACFR amorce une année de défis REGINA - Déficit de 45 789$ pour 2016-17, coupure de 40% du financement de Patrimoine canadien pour la prochaine année, nouvelle direction...
Mur à la frontière mexicaine : des espèces en danger La construction d’un mur à la frontière entre les États-Unis et le Mexique aura des impacts dont on parle très...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5271 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer