14 mars Théâtre Bon débarras: version radiophonique à Gravelbourg GRAVELBOURG - Dimanche le 19 février 2017 a eu lieu la présentation de la pièce de théâtre « Bon...
Gravelbourg se mobilise pour sauver un joyau de notre patrimoine Quel avenir pour le couvent Jésus-Marie? GRAVELBOURG - L’avenir de l’édifice se joue en ce moment. Est-ce que ce monument à un pan de l’histoire fransaskoise ne...
Entre manque de neige, festivités et les 150 ans du Canada Une semaine de carnaval d’hiver à Prince Albert Pour la seconde année consécutive, le Carnaval d’hiver s'est déroulé sous le signe du manque de neige.
« Points de vues sur la résistance du Nord-Ouest » Conférence sur Louis Riel: l'importance des archives REGINA - La soirée du 8 février 2017, on a pu voir Louis Riel et le général Middleton qui prenaient une bière...
Le Mois de l’histoire des Noirs Les Africains se découvrent sur les ondes de CFRG GRAVELBOURG - Cette année, la radio de CFRG a donné la parole aux Noirs de Gravelbourg et de Saskatoon, désireux de se...
17 février 2020 AJEFS 29513 Société, Femmes, Chronique juridique L’affaire personne: Les droits des femmes au Canada Jusqu’à la fin du 19e siècle, les femmes mariées n’avaient pas le droit de posséder de propriété. Au moment de l’affaire « personne », les femmes dans la plupart des provinces canadiennes venaient tout juste d’obtenir le droit de vote. Par exemple, les femmes du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique n’ont pas obtenu le droit de vote avant 1917. Et ce n’est que deux ans plus tard qu’elles ont obtenu le droit de vote aux élections fédérales. Même si les choses changeaient, en 1927 les droits des femmes n’étaient toujours pas établis. En 1927, cinq femmes de l’Alberta voulaient faire progresser les choses plus rapidement. Emily Murphy, Henrietta Muir Edwards, Nellie McClung, Louise McKinney et Irene Parlby ont amené leur cause à la Cour suprême du Canada. La question était de savoir si les femmes étaient comprises dans l’interprétation légale du terme « personne ». À cette époque, l’article 24 de la Loi sur l’Amérique du Nord britannique de 1867, stipulait que seulement « des personnes ayant les qualifications voulues » pouvaient faire partie du Sénat. La Cour suprême du Canada avait alors décidé que le mot « personne » excluait les femmes. Les « Célèbre cinq » ont alors porté leur cause en appel au Comité judiciaire du Conseil privé britannique, le plus haut tribunal d’appel au Canada à l’époque. Le 18 octobre 1929, la décision est annoncée par Lord Sankey, grand chancelier de Grande-Bretagne, en leur faveur, reconnaissant que les femmes étaient éligibles à devenir sénatrices. La décision mentionnait : « L’exclusion des femmes de toute charge publique est un vestige d’une époque plus barbare. Aux personnes qui se demandent si le mot « personne » doit comprendre les femmes, la réponse est évidente, pourquoi pas? » Besoin d’information juridique? Visitez le site saskinfojustice.ca ou contactez l'Association des juristes d'expresssion française de la Saskatchewan : 1 855-924-8543 / centre@saskinfojustice.ca Balises L'Affaire personne Partager Imprimer