14 février Théâtre Oskana Un programme double pour débuter la saison 2017 Tremblay et Barbeau au Théâtre Oskana Le Théâtre Oskana présentait, du 19 au 22 janvier dernier, Surprise! Surprise! de Michel Tremblay et Manon Lastcall de Jean...
PayPal gèle le compte d'un organisme canadien de médias à cause du mot "Syrie" Une dérive inquiétante de Paypal Le service de paiement en ligne PayPal a gelé le compte d'une organisation nationale de journaux canadiens lorsqu'un hebdomadaire...
La Troupe du Jour présente Bousille et les justes Pour sa pièce communautaire de la saison 2016-2017, La Troupe du Jour présente une pièce majeure de la dramaturgie...
Les archives de l’Eau vive maintenant sur le Web Depuis sa création, en 1971, le journal l’Eau vive a consigné dans ses pages de nombreux moments de l’histoire...
Après plus de 100 ans d'absence Les bisons de retour dans le parc national Banff Les bisons paissent de nouveau sur les versants est isolés du parc national Banff après une absence de plus d'un siècle.
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16569 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer