14 mars Théâtre Bon débarras: version radiophonique à Gravelbourg GRAVELBOURG - Dimanche le 19 février 2017 a eu lieu la présentation de la pièce de théâtre « Bon...
Gravelbourg se mobilise pour sauver un joyau de notre patrimoine Quel avenir pour le couvent Jésus-Marie? GRAVELBOURG - L’avenir de l’édifice se joue en ce moment. Est-ce que ce monument à un pan de l’histoire fransaskoise ne...
Entre manque de neige, festivités et les 150 ans du Canada Une semaine de carnaval d’hiver à Prince Albert Pour la seconde année consécutive, le Carnaval d’hiver s'est déroulé sous le signe du manque de neige.
« Points de vues sur la résistance du Nord-Ouest » Conférence sur Louis Riel: l'importance des archives REGINA - La soirée du 8 février 2017, on a pu voir Louis Riel et le général Middleton qui prenaient une bière...
Le Mois de l’histoire des Noirs Les Africains se découvrent sur les ondes de CFRG GRAVELBOURG - Cette année, la radio de CFRG a donné la parole aux Noirs de Gravelbourg et de Saskatoon, désireux de se...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16569 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer