6 janvier Communautaire Quel avenir pour les succursales et la livraison rurale à Postes Canada ? Bien des Canadiens ont lutté contre l’érosion du service postal. Mais les transformations ont continué,...
Pergélisol et impacts sur les communautés nordiques De nombreux spécialistes sont d’avis que l’année 2016 est en bonne position pour devenir l’année la plus chaude jamais...
Des graphistes en herbe à l’École Valois La classe de la 3e année de l'École Valois a conçu une affiche pour la pièce de théâtre Par...
Les héritiers de Sir Wilfrid Laurier Le service au public offert par le gouvernement fédéral changera son visage linguistique en 2021. La ministre du Patrimoine,...
Dernières activités de 2016 à Gravelbourg GRAVELBOURG - L’année tire à sa fin à Gravelbourg et voici un bref aperçu des dernières activités...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5264 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer