Francophonie 17 novembre 2016 Prestation de services dans les deux langues: Ottawa reverra son règlement
17 novembre Chronique environnement Un ménage à trois chez les lichens Les lichens couvrent environ 6% de la surface de la terre et on trouve plus de 550 espèces en Saskatchewan. Une découverte à...
Métis et Fransaskois : quelques réflexions après la conférence de David Bouchard L’auteur fransaskois, David Bouchard, était l’invité de la Cité universitaire francophone le mardi 1er novembre...
Conférence de David Bouchard: Fransaskois, Métis et joueur de flûte REGINA - Le son envoûtant de la flûte autochtone du chaleureux auteur, conférencier et éducateur fransaskois David...
Un appel du président de la FJCF Pour le droit de vote à seize ans Le Comité spécial sur la réforme électorale étudie des réformes électorales possibles et consulte...
Straight Jacket Winter à Saskatoon: une soirée intime et magique Une partie de l’émerveillement réside dans les conceptions sonore et visuelle qui transgressent la ligne usuelle entre le jeu...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16547 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer