4 novembre Écoles d'immersion Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School Mardi le 18 octobre 2016 avait lieu l’inauguration de l’École Gravelbourg School à Gravelbourg.
Un bon spectacle pour un anniversaire d'importance L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls GRAVELBOURG - La communauté fransaskoise de Gravelbourg a célébré le 25ième anniversaire de...
Tournée « On n’est pas des cowgirls » avec Alexis Normand et Ariane Marÿke... Lancement de deux albums par des artistes des Prairies SASKATOON - Le 20 octobre dernier à Saskatoon, Alexis Normand et Ariane Mahrÿke Lemire ont présenté deux excellentes...
Bouton « Panique » Ça vous est déjà arrivé de vous tromper de date pour un certain engagement? Et quand vous vous en apercevez, le bouton...
Pour être en paix avec soi et avec les autres Méditer à l’école Pourquoi amener la pratique de la méditation dans nos écoles? Parce qu'elle donne la possibilité de s’entraîner...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16547 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer