5 octobre Arts et culture Être ou ne pas être (protégé) ? La culture à l’ère numérique Les 10 000 participants aux pré-consultations sur la politique culturelle ont identifié deux priorités : la visibilité...
Tabou, No More: parler ouvertement de la santé mentale Pourquoi vouloir à tout prix démanteler le tabou autour de la santé mentale, faire face à cet éléphant...
Rentrée parlementaire et francophonie Les couloirs du Parlement, déserts depuis la relâche estivale, reprennent vie cette semaine. Ainsi s’ouvre un nouveau chapitre...
Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement? Trois organismes ont réclamé mi-septembre la modernisation des ententes nationales en éducation qui lient le...
"Comment ai-je bien pu me rendre ici?" - Marie-France Kenny L'autre soir, alors que je repensais à ma merveilleuse journée après avoir reçu la distinction de l’Ordre des...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5241 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer