18 août Francophonie Portrait d'un homme passionné par la francophonie Denis Desgagné, en première ligne contre l’isolement identitaire (2e partie) Après un long parcours en Alberta jalonné de défis ambitieux, Denis Desgagné est prêt à entamer un nouveau chapitre. Son ami George Arès, alors...
Le député libéral Mauril Bélanger s'est éteint Mauril Bélanger, membre libéral du Parlement depuis plus de deux décennies et militant de longue date pour les droits des...
Changements à la SRC: un enjeu de communication Chaque changement à Radio-Canada surprend et génère un tollé chez son auditoire échaudé par des vagues...
Consolider le virage numérique avant tout François Tremblay nommé Premier Chef contenus de la région de l’Ouest à Radio-Canada Il veut s’assurer de consolider le plan 2020 ainsi que le virage numérique entrepris par la « première...
Sacré Charlemagne! Pour nous inviter aux vacances, il y a eu la chanson « C’est le temps des vacances ». Mais pour nous ramener...
18 juin 2019 FAJEF 20096 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer