14 août Voyages Les pieds dans le sable blond, blanc ou rouge L’été des francophones sur les plages Avec le sable rouge du sud de l’Île-du-Prince-Édouard et le blanc de ses plages du côté nord séparés...
Alcool au volant: le vice-premier ministre saskatchewannais démissione Le vice-premier ministre de la Saskatchewan, Don McMorris, a annoncé sa démission, samedi, après avoir été...
Les tuyaux en surface ne suffiront pas cet hiver Le pétrole déversé en Saskatchewan ne pourra pas être entièrement récupéré Environ 133 000 litres de pétrole ont été récupérés à la suite d'un déversement...
La commissaire en chef est membre des Premières Nations Femmes autochtones: une enquête non contraignante tout de même saluée Même si elle manque de mordant aux yeux de certaines organisations et familles de victimes, l'enquête nationale publique sur les...
Accès carrière : favoriser l’employabilité des jeunes via l’expérience professionnelle L’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) offre le programme Accès carrière qui permet aux jeunes de...
18 juin 2019 FAJEF 20096 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer