1 septembre Littérature Une expérience enrichissante Retraite des écrivains fransaskois 2016 MUENSTER - La quatrième édition de la Retraite des écrivains fransaskois a eu lieu à l'abbaye de Muenster (SK) du 18 au 20 août 2016.
Soirée de lancement du Webzine culturel fransaskois Le retour du Fransasquatch Une trentaine de personnes étaient présentes au relancement du Fransasquatch ce vendredi 12 août dans les locaux...
Saskatchewan: le premier ministre Brad Wall remanie son cabinet Six ministres de la Saskatchewan accèdent à un nouveau poste tandis que quatre nouveaux visages entrent au cabinet dans le cadre du...
Une tournée européenne fructueuse pour Annette Campagne L'auteure-compositeur fransaskoise Annette Campagne est partie en tournée en France, en Allemagne et aux Pays-Bas en compagnie de J.J....
André Mercure : le caractère et la conviction L’histoire est une suite d’événements, de lieux et de personnages, un peu comme une pièce de théâtre...
18 juin 2019 FAJEF 20096 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer