13 octobre Aventure et plein air Une aventure aquatique au cœur des Prairies À la découverte de la rivière Saskatchewan Sud Couronnée par ses paysages de la forêt boréale et de la forêt-parc de trembles, la rivière Saskatchewan Nord...
L'activité de levée de fonds du centre éducatif attire plus de 80 personnes Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue Le 7 octobre 2016 plus de 80 personnes se sont rendues au Centre communautaire BDS à Bellevue pour participer à la première...
Chant’Ouest 2016: Une édition multiculturelle REGINA - C’était une soirée très attendue. Après une semaine complète à participer à Contact’Ouest , les 4 participants de...
Le commissaire aux langues officielles publie un rapport sur la petite enfance Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien Dans son rapport "La petite enfance: vecteur de vitalité des communautés francophones en situation minoritaire",...
Des alliés québécois pour la CPF Mission exploratoire au Québec pour le Portail fransaskois Grâce à un appui financier du Secrétariat aux affaires intergouvernementales canadiennes (SAIC), l’équipe de la...
18 juin 2019 FAJEF 20108 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer