29 octobre Agriculture et environnement Changer la manière dont on fait les choses Le St. Denis National Wildlife Area démystifié Le 18 octobre 2016, le Global Institute for Water Security de l'Université de la Saskatchewan a invité les gens de la...
Un cadre du CÉF devient président de l'APF De l’huile sur un feu presque éteint? L’élection d’un employé cadre du Conseil des écoles fransaskoise à la présidence de...
Maman j'ai peur!!! L'après Trump: lendemains électoraux inquiétants? Que se passera-t-il si Donald Trump ne reconnaît pas sa défaite? Il y a beaucoup de mécontentement, de colère, de frustration et de peur chez...
Décès d'Omer Archambault Le juge Omer Archambault, originaire de Duck Lake, est décédé paisiblement le 19 octobre 2016 à...
Symposium des parents 2016 L’enfant était au cœur des discussions Environ 150 personnes ont participé à l’édition 2016 du Symposium des parents, organisé par l’Association...
18 juin 2019 FAJEF 20117 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer