5 octobre Arts et culture Être ou ne pas être (protégé) ? La culture à l’ère numérique Les 10 000 participants aux pré-consultations sur la politique culturelle ont identifié deux priorités : la visibilité...
Tabou, No More: parler ouvertement de la santé mentale Pourquoi vouloir à tout prix démanteler le tabou autour de la santé mentale, faire face à cet éléphant...
Rentrée parlementaire et francophonie Les couloirs du Parlement, déserts depuis la relâche estivale, reprennent vie cette semaine. Ainsi s’ouvre un nouveau chapitre...
Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement? Trois organismes ont réclamé mi-septembre la modernisation des ententes nationales en éducation qui lient le...
"Comment ai-je bien pu me rendre ici?" - Marie-France Kenny L'autre soir, alors que je repensais à ma merveilleuse journée après avoir reçu la distinction de l’Ordre des...
18 juin 2019 FAJEF 20108 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer