Aventure et plein air 14 juillet 2016 Des coins à découvrir en français dans le Sud de la Saskatchewan
13 juillet Communautaire Consultation de Patrimoine canadien à Regina: "un vent d'optimisme" Nous ne voulons plus parler de Feuille de route, mais plutôt d’un Plan d’action. » C’est ainsi que le...
Le CSF parle de transparence et de rétablir la confiance des parents Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner Nous demandons la démission de M Roy. C’est la chose morale et honorable à faire. Les parents doivent participer aux...
L’école francophone et les Néo-Canadiens De plus en plus, on voit l'immigration francophone comme le moyen de changer le cours de l’histoire qui voudrait que la langue...
Portrait d'un homme passionné Denis Desgagné, en première ligne contre l'isolement identitaire Le parcours de M. Desgagné débute en Outaouais, au Québec. Il se souvient qu'enfant, lorsque les balades en voiture avec son père les...
Les femmes et la Francophonie Trop souvent, nous oublions de célébrer l’engagement et la volonté de franco-canadiennes qui ont lutté pour nous...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16512 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer