18 août Francophonie Portrait d'un homme passionné par la francophonie Denis Desgagné, en première ligne contre l’isolement identitaire (2e partie) Après un long parcours en Alberta jalonné de défis ambitieux, Denis Desgagné est prêt à entamer un nouveau chapitre. Son ami George Arès, alors...
Le député libéral Mauril Bélanger s'est éteint Mauril Bélanger, membre libéral du Parlement depuis plus de deux décennies et militant de longue date pour les droits des...
Changements à la SRC: un enjeu de communication Chaque changement à Radio-Canada surprend et génère un tollé chez son auditoire échaudé par des vagues...
Consolider le virage numérique avant tout François Tremblay nommé Premier Chef contenus de la région de l’Ouest à Radio-Canada Il veut s’assurer de consolider le plan 2020 ainsi que le virage numérique entrepris par la « première...
Sacré Charlemagne! Pour nous inviter aux vacances, il y a eu la chanson « C’est le temps des vacances ». Mais pour nous ramener...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16524 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer