16 juin Musique Entretien avec Mario Lepage Lancement de l’EP de PONTEIX J’orage Après s'être rendu en demi-finale aux Francofolies, PONTEIX, la nouvelle formation de Mario Lepage, lançait, le 3 juin...
Assemblée générale de la Société canadienne-française de Prince Albert Le président de la SCFPA, Michel Dubé, a présenté un bilan annuel de la SCFPA très riche et très...
Entre autonomie, discipline et motivation Parcours de l’unique finissant de l’école Valois PRINCE ALBERT - Vivre son secondaire comme étant le seul élève de la classe peut sembler être un défi pour bien...
La radio communautaire: pour vous, par vous Les radios communautaires rejoignent 75 % de la population canadienne et comptent sur près de 6 000 bénévoles qui produisent...
Festival pour enfants Potash Corp à Saskatoon La Tente francophone accueille plus de 1 000 visiteurs SASKATOON - Pour la première fois cette année, le Festival pour enfants Potash Corp offrait une tente abritant les...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8690 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer