2 juin Grandir, un jeu d'enfant Demander à un enfant de ranger sa chambre peut devenir un jeu Ranger, un plaisir partagé ? Amener son enfant à devenir grand soulève toujours son lot de soucis pour les parents ; particulièrement pour les...
Langues officielles: au citoyen de monter la garde Depuis dix ans le commissaire aux langues officielles reçoit des plaintes et comparaît devant les tribunaux, ce qui laisse...
La participation aux activités La participation aux diverses activités organisées dans la communauté fransaskoise par une multitude d’organismes...
Critique du CD de l'artiste franco-ontarien Mclean - Sans l'abri d'un quand L'urgence qui implose des deux premiers titres de Sans l'abri d'un quand témoigne d'un désir de passer à autre chose,...
L'été des artistes Toujours plus d'artistes francophones aux festivals anglophones De la Fête fransaskoise près de Saskatoon au Festival du Loup de Lafontaine (Ontario) en passant par le Festival acadien de Caraquet...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8690 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer