15 juin Communautaire Mesurer le mieux-être de la communauté fransaskoise Mise à jour Plan de développement global de la communauté fransaskoise Bien qu’il soit resté similaire à sa dernière version datant de 2010, le PDG version 2016 a été sujet...
Conférence du Pr Rodrigue Landry au Forum santé 2016 Comment revitaliser le « village gaulois » ou le modèle de l’autonomie culturelle en Saskatchewan ? REGINA - « La francophonie en Saskatchewan et le défi de l’autonomie culturelle ». C’est autour de...
Forum santé 2016 à Regina Un réseau santé bien branché…pour une meilleure santé en français REGINA - Le Forum santé 2016 du Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) s’est tenu les 27 et 28 mai...
Baluchon Alzheimer: éviter l’épuisement des aidants SASKATOON - En Saskatchewan, plus de 19 000 personnes vivent avec une démence comme la maladie d’Alzheimer. Prendre soin de ces...
AGA du Réseau Santé en français de la Saskatchewan Réseau Santé : cap sur les ressources humaines REGINA - En regardant vers l’avenir, le Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) met l’accent sur...
18 juin 2019 FAJEF 20079 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer