2 juin Arts visuels L’artiste peintre fransaskois Wilf Perreault honoré par la Saskatchewan Honoré par l’Ordre du mérite de la Saskatchewan, plus grande distinction honorifique de la province, l’artiste peintre...
SHS - Société historique La Société historique de la Saskatchewan : partenariats et nouvelles orientations
La musique traverse les générations à Ponteix PONTEIX - Les musiciens Annette Campagne et Dave Lawlor ont réalisé une vidéo dans le cadre du Projet Musique des...
De nouveaux espaces à Saskatoon pour le Collège Mathieu Le jeudi 19 mai dernier le Collège Mathieu a inauguré ses nouveaux espaces du campus de Saskatoon.
Assemblée annuelle de la Fédération des aînés fransaskois Faute de financement, les aînés misent sur les partenariats Même avec une diminution de son financement, la Fédération des aînés fransaskois (FAF) est demeuré...
Ma coloration linguistique Les accents de la francophonie « Je n’ai pas un accent, mais une coloration linguistique. Si j’ai un accent, toi aussi tu as un...
18 juin 2019 FAJEF 20072 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer