1 juillet Arts et culture Le Cirque Nova vers d’autres contrées Installé depuis trois ans en Saskatchewan, le Cirque Nova partira s’établir en Alberta vers la fin de...
Festival Solstice d'été à Gravelbourg Gravelbourg a vécu au rythme du Festival Solstice d’été la fin de semaine des 17 et 18 juin dernier.
Société historique de la Saskatchewan : un fond de 46 625 $ pour un projet d’archives Bibliothèque et archives Canada a accordé une subvention de 46 625$ à la Société historique de la...
Lettre de parents fransaskois: La saine gouvernance scolaire 101 La période électorale du Conseil scolaire fransaskois (CSF) approche à grands pas. Nous sommes les électeurs. Nous...
Consultation de Patrimoine canadien en vue Le ministère du Patrimoine canadien a annoncé une série de consultations publiques afin d’élaborer un nouveau...
18 juin 2019 FAJEF 20086 AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Un grand pas pour l’accès à la justice en français en matière de divorce Communiqué de presse de FAJEF sur le projet de loi C-78 WINNIPEG – La Fédération des associations de juristes d’expression française de common law inc. (FAJEF) applaudit l’adoption du projet de loi C-78, qui prévoit l’ajout de plusieurs dispositions linguistiques à la Loi sur le divorce. La FAJEF souhaite maintenant voir l’entrée en vigueur rapide de ses dispositions linguistiques dans toutes les provinces et tous les territoires. Le président de la FAJEF, Me Daniel Boivin déclare que « le fait que le droit de divorcer en français soit maintenant reconnu dans le projet de loi C-78 est aussi historique et significatif pour le bilinguisme judiciaire au Canada que la reconnaissance, par le passé, dans le Code criminel du droit de subir son procès criminel dans la langue officielle de son choix dans toutes les provinces et tous les territoires ». Me Boivin ajoute qu’il est aussi « très heureux de constater qu’il existe un consensus que toutes les Canadiennes et tous les Canadiens doivent avoir le droit de divorcer dans la langue officielle de leur choix, peu importe leur province ou territoire de résidence, surtout que le divorce affecte directement la vie de nombreuses familles ». La FAJEF et son réseau tiennent à souligner qu’ils sont disposés à travailler de près avec les divers intervenants clés comme Justice Canada, les barreaux, les ministères provinciaux de la Justice, ainsi que le Réseau national de formation en justice pour faciliter la mise en œuvre et l’entrée en vigueur rapide de ces nouveaux droits linguistiques. Partager Imprimer