11 mars AJEFS- Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan Faire connaitre les ressources d'information juridique de l'AJEFS Présentation du Centre Info-Justice à Gravelbourg et Ponteix Lundi le 29 février 2016, Mme Rosalie Umuhoza, directrice générale de l’Association des juristes d’expression française de la...
Rencontre avec l'artiste louisianais Zachary Richard, artiste, humaniste et militant Extraits d’une conversation avec Zachary après sa nomination comme Humanist of the Year 2016 par le Louisiana Endowment for the...
Les nouveaux défenseurs de la francophonie à Ottawa Qui remplacera les champions Godin et Chaput ? Avec le départ de la sénatrice manitobaine Maria Chaput et du député acadien Yvon Godin, deux défenseurs de la...
Mad Max sur la planète 50-50 Une véritable égalité hommes/femmes ne peut résulter uniquement d'engagements gouvernementaux, de lois et de mesures....
Deuxième saison du concours de jeunes talents sur la chaîne UNIS Galala : un spectaculaire avant-goût de la relève Ils sont jeunes et talentueux. Il n'y a pas de doute qu'ils impressionneront les spectateurs lors de leur passage à la...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8671 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer