22 janvier Société Une communauté en détresse depuis des années Fusillade dans une école du nord de la Saskatchewan LA LOCHE, Sask. - Au moins quatre personnes ont été tuées et deux autres grièvement blessées lors d'une...
Randy Boissonnault, secrétaire parlementaire de la ministre Mélanie Joly à... « Tous les députés doivent défendre les langues officielles » Bouleversé. Voilà comment se sent le nouveau secrétaire parlementaire de la ministre Mélanie Joly à Patrimoine...
Rapport: les communautés minoritaires négligées lors de l'examen des dépenses Ottawa a négligé ses obligations en matière de langues officielles lors de l'examen des dépenses qui a mené...
Pierre Bhérer: L’homme des communautés francophones à Québec Depuis sa création, la Politique du Québec vise à développer et à maintenir des liens de partenariat entre la...
L'article 23 de la Charte canadienne toujours devant les tribunaux Au cours des dernières années, il y a eu beaucoup de discussions dans la communauté fransaskoise concernant les meilleurs...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8659 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer