22 octobre Réjean Paulin La perte d’un compagnon Fin de l'édition papier pour L'Express d'Ottawa L’Express d’Ottawa, hebdomadaire membre de l’Association de la presse francophone, disparaît des kiosques et...
Pour l'ACF, Trudeau c’est un vent d’espoir REGINA - Françoise Sigur-Cloutier, présidente de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) accueille avec un certain...
Rendez-vous fransaskois 2015: Élan 2020, une discussion sur l’avenir À la veille du Rendez-vous fransaskois, qui se déroulera les 6, 7 et 8 novembre prochains à Regina,...
Le Collège Mathieu s'internationalise GRAVELBOURG - Le Collège Mathieu, basé à Gravelbourg, a reçu la désignation du ministère...
Les experts cherchent l’aide du public pour sauver le caribou SASKATOON - Des chercheurs lancent un programme de recherche pour sauver le caribou des bois, une espèce considérée comme...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5154 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer