22 octobre Politique La démocratie reste à venir même en Occident... Au moment de lire ceci, vous avez probablement exercé votre droit de vote. Vous avez aussi probablement « perdu vos...
Le Théâtre Oskana fêtera sur scène les 50 ans de l’ACFR REGINA - Laurier Gareau et et Guy Michaud ont créé une pièce pour marquer le 50e anniversaire de fondation de...
Mot d'André Poulin-Denis, président du Conseil d’administration de la... Une campagne de financement pour assurer la survie de L'Eau vive Cette semaine la CPF lance une campagne de prélèvement de fonds importante. Cette initiative a pour objectif d’assurer...
Résultats du vote en Saskatchewan Détails des résultats dans les circonscriptions saskatchewannaises suite aux élections fédérales du 19 octobre...
Quelques infos « non officielles » sur les trois chefs Alors que les électeurs sont sur le point de faire leur choix, il est toujours pratique de donner des informations que les chefs de parti...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16434 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer