10 septembre Prince Albert La SCFPA ouvre sa saison dans l’optimisme PRINCE ALBERT - La Société canadienne française de Prince Albert (SCFPA) a lancé sa nouvelle saison 2015-16....
Michel Marchildon : « pour nous Léon était un géant » Texte d’hommage de Michel Marchildon aux funérailles de son père.
Dernier hommage à Léon Marchildon ZENON PARK - Le 5 septembre 2015 environ 250 personnes ont convergé vers l’église de Zenon Park pour les...
Rencontre avec le pasteur Ali (Église luthérienne) de Saskatoon Le bénévolat pour combattre l’égoïsme rampant dans la société Les yeux pétillants, la parole généreuse, le révérend Ali Tote, 44 ans,...
AGE du CSF: trois heures d'échanges difficiles Très attendue, l’Assemblée générale extraordinaire du Conseil scolaire fransaskois (CSF) n’a pas...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8587 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer