3 septembre Politique Voter au nom du français C’est le temps ou jamais d’aborder la question du vote francophone. Est-il possible au Canada de se servir du scrutin pour promouvoir...
Show and Shine 2015 Les belles carrosseries envahissent Saskatoon Organisé par la station radiophonique Rock 102, le Festival Show & Shine rassemble chaque année la plus grosse exposition de...
La Cité universitaire francophone officiellement lancée REGINA - La Cité universitaire francophone (CUF) a été inaugurée le 1er septembre 2015 devant un parterre de...
La cloche va sonner C’est l’heure du retour en classe pour des centaines de jeunes Fransaskois. Et cette nouvelle rentrée scolaire apporte encore...
Rencontre avec Donald Michaud, directeur de l'éducation par intérim La rentrée au CÉF: « Malgré les défis, nos services se bonifient » REGINA - Ce 1er septembre, c’est jour de rentrée scolaire pour des centaines de jeunes Fransaskois. Le Conseil des écoles...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8587 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer