21 juillet Communication Les sénateurs veulent que la SRC suive le modèle américain de PBS SRC/CBC: un comité du Sénat rejette un financement stable et pluriannuel OTTAWA _ Le comité sénatorial permanent des communications qui se penche sur l'avenir de Radio-Canada/CBC demande à la...
La Fête fransaskoise : quelques voix de la diversité francophone… CIRCLE H RANCH - Ils sont venus en familles, en couples ou seuls. A vélo, en roulotte ou encore en voiture. Soit pour les deux...
À la découverte de la francophonie canadienne Deux Québécois à la Fête fransaskoise dans le cadre d’un projet de documentaire CIRCLE H RANCH - Ils s'appellent Francis Groulx et Nathaël Michaud. Le premier avait commencé des études en aéronautique...
30 kilomètres sous un soleil de plomb... pour le plaisir! Vélo santé 2015 à la Fête fransaskoise : CIRCLE H RANCH - Quelques vingt-huit passionnés du vélo ont participé, à leur manière, à...
Activités, spectacles et détente Une famille partage son expérience à la Fête fransaskoise C’est par une journée alternant éclaircies et pluie que nous avons décidé de nous rendre à la Fête...
17 février 2020 AJEFS 29304 Société, Femmes, Chronique juridique L’affaire personne: Les droits des femmes au Canada Jusqu’à la fin du 19e siècle, les femmes mariées n’avaient pas le droit de posséder de propriété. Au moment de l’affaire « personne », les femmes dans la plupart des provinces canadiennes venaient tout juste d’obtenir le droit de vote. Par exemple, les femmes du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique n’ont pas obtenu le droit de vote avant 1917. Et ce n’est que deux ans plus tard qu’elles ont obtenu le droit de vote aux élections fédérales. Même si les choses changeaient, en 1927 les droits des femmes n’étaient toujours pas établis. En 1927, cinq femmes de l’Alberta voulaient faire progresser les choses plus rapidement. Emily Murphy, Henrietta Muir Edwards, Nellie McClung, Louise McKinney et Irene Parlby ont amené leur cause à la Cour suprême du Canada. La question était de savoir si les femmes étaient comprises dans l’interprétation légale du terme « personne ». À cette époque, l’article 24 de la Loi sur l’Amérique du Nord britannique de 1867, stipulait que seulement « des personnes ayant les qualifications voulues » pouvaient faire partie du Sénat. La Cour suprême du Canada avait alors décidé que le mot « personne » excluait les femmes. Les « Célèbre cinq » ont alors porté leur cause en appel au Comité judiciaire du Conseil privé britannique, le plus haut tribunal d’appel au Canada à l’époque. Le 18 octobre 1929, la décision est annoncée par Lord Sankey, grand chancelier de Grande-Bretagne, en leur faveur, reconnaissant que les femmes étaient éligibles à devenir sénatrices. La décision mentionnait : « L’exclusion des femmes de toute charge publique est un vestige d’une époque plus barbare. Aux personnes qui se demandent si le mot « personne » doit comprendre les femmes, la réponse est évidente, pourquoi pas? » Besoin d’information juridique? Visitez le site saskinfojustice.ca ou contactez l'Association des juristes d'expresssion française de la Saskatchewan : 1 855-924-8543 / centre@saskinfojustice.ca Balises L'Affaire personne Partager Imprimer