9 juillet Francophonie Un déficit migratoire négatif dans plusieurs régions La migration des jeunes francophones Une étude de l’Institut canadien de recherche sur les minorités linguistiques (ICRML) révèle que 34 des 63...
Notre futur proche et notre futur lointain Joshua Fizel : premier finissant de l'école Père Mercure La petite école Père Mercure, aux arômes d'esprit de famille et de partage, Josh l’a arpentée, fréquentée pendant treize années, de la...
Ou comment vivre en osmose avec la nature Camping insolite: deux nuits à dormir dans une yourte CHRISTOPHER LAKE - Se réveiller au petit matin au son du chant mélodieux des oiseaux, cela est propre à chaque camping....
Une centaine de feux déclarés autour des lacs du nord de la province La Saskatchewan en feu: inquiétude et désarroi Cet été s’annonce catastrophique quant aux ravages du feu dans les forêts du nord de la Saskatchewan. Les chaleurs...
Cure de rajeunissement pour le Centre culturel Maillard GRAVELBOURG - Pendant le mois de juin 2015, l’Association communautaire fransaskoise de Gravelbourg (ACFG) a procédé à...
18 février 2019 Simb Simb 41758 Archives, 2019, Communautaire, Regina, Société, Immigration, Mon métier, ma passion Job Wilfried Coffi Comlan: Du Bénin à Regina Gens d'ici Job Wilfried Coffi Comlan REGINA - Arrivé au Canada il y a moins de 6 mois, Job a vécu pendant 2 mois dans la province de Québec avant de s’installer en Saskatchewan, et plus précisément dans la ville de Regina. Job est né et a grandi dans la capitale du Bénin, Cotonou. Après ses études secondaires, il opte pour une formation universitaire qui sera couronnée par une licence (équivalente au baccalauréat du Canada) en finance et comptabilité. Job avoue que « c’est l’exploration de nouveaux cieux ainsi que la recherche de nouvelles conditions de travail » qui ont pesé lourd dans son choix d’immigration. Mais « une fois au Québec, mon premier objectif a été de trouver un emploi dans mon domaine de prédilection et de formation, à savoir la gestion en finance et comptabilité. Mais j’ai dû faire face à un obstacle, l’exigence du bilinguisme », ajoute-t-il. Job quittera donc le Québec pour la Saskatchewan afin d’améliorer son anglais, car selon lui, vivre dans un contexte purement anglophone l’aidera à améliorer son niveau de langue anglaise. Comme pour dire qu’il faut reculer pour mieux sauter. Actuellement, Job occupe un poste de moniteur de langue française dans des écoles d’immersion française. Il faut dire que ce nouvel emploi a fait naître en lui la nostalgie de l’enseignement, une profession pour laquelle il nourrissait d’ailleurs l’espoir d’exercer depuis le Bénin. Ce qui du coup l’amène à penser à une réorientation de carrière : « La probabilité est forte que je fasse un bac en éducation pour intégrer le monde de l’enseignement. » Son adaptation climatique se fait non sans difficulté, car partir d’un pays excessivement chaud pour un pays démesurément froid n’est pas du tout facile à gérer. Parlant de son adaptation culturelle, il a été frappé par le côté sociable des Saskatchewanais et francophones d’ici. L’objectif premier de Job est de mener à bien la réunification familiale, car sa petite famille étant restée au Bénin, il s’est avancé pour lui préparer une place à ses côtés au Canada. Partager Imprimer