3 juillet Religion Il est dans sa jeunesse, le 4ième âge. Ghislain Bellavance, père, grand-père, arrière-grand-père et... jeune diacre ! NORTH BATTLEFORD - Il est père, grand-père, arrière-grand-père. Et en ce jour de la fête de la...
140 personnes fêtent la Saint-Jean-Baptiste à Zenon Park ZENON PARK - 140 personnes de tous les âges ont eu le plaisir de participer à la fête le 26 juin dernier.
C’est l’temps d’la Saint-Jean! SASKATOON - Le soleil, les enfants qui rient et chahutent, l’odeur des hamburgers sur le barbecue… Tous les ingrédients...
Soleil, pluie, soleil…et cirque! La Saint-Jean-Baptiste à North Battleford NORTH BATTLEFORD - Dimanche 28 juin, on a fêté la Saint-Jean-Baptiste dans la grande cour de la petite école Père...
L’ACFR célèbre la Journée canadienne du multiculturalisme Un petit Mosaic à Regina, le temps d'un après-midi Un interlude fort ludique et divertissant, organisé par l’Association canadienne-française de Regina (ACFR), s'est...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30312 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer