18 juin Autochtones / Métis Génocide culturel: les francophones solidaires et oppresseurs Le régime de génocide culturel des autochtones, lancé en 1870, aura duré plus d’un siècle. Comment les...
Lancement d'un album bilingue Les flûtes enchantées de Combine, le premier album de QuarterTones REGINA - Mercredi le 10 juin 2015 avait lieu au Crave à Regina le lancement de l'album Combine de l'ensemble de flûtes...
Faire face aux différents défis des communautés francophones Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan REGINA - Les années se suivent mais ne se ressemblent pas pour l'association fransaskoise qui s'occupe d'économie, le Conseil de la...
L’ACF amorce une série d’ateliers pour faciliter l'intégration des immigrants Les employés de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) inauguraient le lundi 15 juin 2015 un nouveau programme visant...
Vue des coulisses Un regard intime sur Madame Butterfly à l'Opéra de Saskatoon SASKATOON - Je vous convie aujourd’hui pour un survol rapide avec Saskatoon Opera de notre production de Madame Butterfly de Puccini.
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30298 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer