Éducation 16 juin 2015 De plus en plus d'élèves font l'école à la maison depuis 5 ans TORONTO - Les familles qui choisissent de faire l'éducation de leurs enfants à domicile sont de plus en plus nombreuses, indique une étude de l'Institut Fraser.
16 juin Politique Harper reconnaît que son gouvernement a encouragé la GRC à détruire des données OTTAWA - Le premier ministre Stephen Harper a reconnu que son gouvernement avait exercé des pressions sur la GRC afin qu'elle...
Une première édition couronnée de succès! Tournoi de golf 2015 du CCS C’est à Manitou Beach que se sont déplacées près d’une trentaine de personnes afin de participer au tout...
Visite guidée avec François Gervais L’espace francophone de la bibliothèque J.M. Cuelenaere PRINCE ALBERT - On n'imagine pas forcément que dans une bibliothèque de la Saskatchewan on puisse trouver tout un secteur mettant...
Un projet phare pour les communautés francophones Un Réseau d’accompagnateurs francophones en santé en Saskatchewan Que faire face à une offre limitée, inadaptée ou totalement absente de services de santé en français en...
Une pièce innovante présentée par les élèves du Pavillon Gustave Dubois Le blogue chanté du Dr Horrible SASKATOON -Pour les élèves de l’École canadienne-française secondaire, la fin de l'année scolaire...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30298 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer