11 juin Francophonie Une société à défragmenter 400 ans de francophonie en Amérique du Nord Acadien d’origine et ancien étudiant et professeur de l’Université d’Ottawa, Joseph Yvon Thériault...
Monsieur: le sens de l’État M. Jacques Parizeau est décédé cette semaine. On le surnommait « Monsieur ». J’ai...
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(Re) Conciliation ? En s’attaquant aux enfants, le gouvernement, en complicité avec l’Église, envisageait de détruite des...
Commission de vérité et réconciliation: notre apartheid à nous Nous sommes collectivement consternés devant la description de cet effort concerté pour "sortir l'indien de chaque enfant", comme...
25 mars 2024 Pierrette Requier 6258 Chroniques, Horizons - Chronique littéraire Quand une sœur meurt Écrit au petit matin, le jour après la mort de notre sœur Suzanne Quand une sœur meurt, on fait quoi ? On ne fait rien. On ouvre la porte qui donne sur le jardin. On s’assoit. On se recueille, fixe le chêne aux feuilles luisantes. Entre les trilles des chants d’oiseaux, on écoute le silence du départ. Les bruissements d’ailes chuchotent, “C’est elle ! C’est elle… “ On lave à la main du linge, les mouchoirs mouillés de larmes. On les accroche à sécher. On revient chez soi. On continue. When a Sister Dies Early morning poem written on the day after our sister Susie’s death When a sister dies, we do what? Nothing. We open the patio door. Sit, gather in. Take in the oak tree, its shiny leaves where birdsongs alight. Hear the silence in between each trill, hear the slight hiss of wing beats whisper, “There... There she is!” Then, hand wash the sodden handkerchiefs, hang them out to dry. We come home. Go on. Partager Imprimer