Chut… soyons invisibles Dans une démocratie, le sort d’une minorité est lié aux appuis qu’elle peut développer au sein de la...
Sébastien Németh entrera en fonction le 4 août 2015 Nouvelle direction générale à la Coopérative des publications fransaskoises Le Conseil d'administration de la Coopérative des publications fransaskoises est heureux d'annoncer l’embauche de Sébastien...
« Les meilleures solutions sont conclues avec les communautés » Dr S. Winder Santé: Plan d'action du gouvernement de la Saskatchewan SASKATOON - Le gouvernement de la Saskatchewan a mandaté une Commission pour examiner la situation en profondeur et proposer des...
Une centaine de personnes ont répondu à l’invitation du RSFS Santé mentale au Forum du RSFS: prévention et leadership des communautés Le Forum annuel du Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS), s’est tenu les 29 et 30 mai derniers à...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8568 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer