28 mai Spectacle Un savant mélange de country pop musique Nathalie Ladouceur à Prince Albert PRINCE ALBERT - Dans le cadre de la tournée Ouest de Chemin Chez Nous, Nathalie Ladouceur a rendu visite aux Fransaskois de Prince Albert...
Charlotte Mabika, propriétaire d’une garderie en milieu familial à Saskatoon Mai est le mois de la petite enfance. Quand on pense aux garderies, c’est souvent les centres à la petite enfance qui nous viennent...
Si la tendance actuelle se maintient… Le bilinguisme institutionnel, un dead duck électoral? Avez-vous remarqué ce silence tonitruant des Libéraux, du NPD et même du Bloc en matière linguistique à l'aube...
Il faudra un jour nommer des sénateurs Élections 2015 et Sénat OTTAWA - Que veulent les Canadiens : le Sénat affaibli des conservateurs, aboli par les néo-démocrates ou non partisan...
Fête des semences à Bellevue : une première bien réussie Le 3 mai dernier, a eu lieu la première Fête des semences à Bellevue qui a rassemblé plus de 50 personnes, toutes...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8557 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer