1 juin Autochtones / Métis Des questions encore sans réponse après cinq ans d'examen Pensionnats indiens: des milliers d'enfants morts La commission qui examine depuis plus de cinq ans l'un des chapitres les plus sombres de l'histoire du Canada boucle ses travaux cette semaine en...
Une soirée placée sous le signe de l'émotion Fête des finissants à l'école Valois PRINCE ALBERT - Le 22 mai dernier, l’École Valois s’est parée de ses plus belles couleurs pour la fameuse fête des...
Le débat électoral de la FCFA : un débat pour qui? En prévision des prochaines élections fédérales, la Fédération des communautés francophones et...
Collation des grades pour les finissantes du Collège Mathieu Le Collège Mathieu est heureux d’avoir tenu la collation des grades pour souligner les accomplissements et l’engagement...
L'auteure fransaskoise nous entraîne dans son voyage Martine Noël-Maw : Trois millions de pas à Ponteix PONTEIX - C’est à la fois son imaginaire et une aventure de vie que l’auteure est venue nous partager. Elle a avoué...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16382 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer