14 mai Histoire et patrimoine Conférence de Denis Perreaux sur l’interculturalité des francophones La transformation de la communauté francophone n’est pas un phénomène nouveau. « Nous écrivons...
La Loi sur les langues officielles s'invite à bord Stéphane Dion dépose un projet de loi sur les langues officielles pour les vols internationaux OTTAWA - Stéphane Dion a déposé un projet de loi visant à accroître la portée de la Loi sur les langues...
L’immigration est le sujet de l’heure Rapport annuel du Commissaire aux langues officielles OTTAWA - L’immigration occupe une place prépondérante dans le dernier rapport annuel du commissaire aux langues officielles,...
Un bol d’air frais nordique pour faire le point Assemblée générale de la Société historique de la Saskatchewan PRINCE ALBERT - C’est à Prince Albert que s'est déroulée, le samedi 9 mai dernier, la 38e Assemblée...
Des moments d’émotion et une leçon d’humilité Le grand Cabaret à Mgr de Laval : la leçon des « petits » aux « grands » REGINA - Organisé le vendredi 8 mai par les élèves de la 7e à la 9e du Pavillon secondaire de l’École...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16365 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer