28 mai Spectacle Un savant mélange de country pop musique Nathalie Ladouceur à Prince Albert PRINCE ALBERT - Dans le cadre de la tournée Ouest de Chemin Chez Nous, Nathalie Ladouceur a rendu visite aux Fransaskois de Prince Albert...
Charlotte Mabika, propriétaire d’une garderie en milieu familial à Saskatoon Mai est le mois de la petite enfance. Quand on pense aux garderies, c’est souvent les centres à la petite enfance qui nous viennent...
Si la tendance actuelle se maintient… Le bilinguisme institutionnel, un dead duck électoral? Avez-vous remarqué ce silence tonitruant des Libéraux, du NPD et même du Bloc en matière linguistique à l'aube...
Il faudra un jour nommer des sénateurs Élections 2015 et Sénat OTTAWA - Que veulent les Canadiens : le Sénat affaibli des conservateurs, aboli par les néo-démocrates ou non partisan...
Fête des semences à Bellevue : une première bien réussie Le 3 mai dernier, a eu lieu la première Fête des semences à Bellevue qui a rassemblé plus de 50 personnes, toutes...
1 février 2020 Lili Mercure (Acadie Nouvelle) 30290 Communication, Politique Médias sociaux : les politiciens face à la haine ACADIE NOUVELLE (Nouveau-Brunswick) – Trou de cul, imbécile, french fuck, pomme pourrie et idiot, sont quelques exemples d’insultes reçues par les politiciens sur les réseaux sociaux. Si leurs décisions ne font pas toujours l’unanimité, nos élus méritent-ils une telle pluie d’injures? Certains croient que c’est le prix à payer. D’autres diront plutôt qu’il faut éviter de banaliser le phénomène des trolls. Les médias sociaux ont changé la relation entre les électeurs et les élus. Facebook et Twitter permettent aux politiciens de tâter le pouls des citoyens. Des outils incontournables afin de pouvoir prendre des décisions éclairées. Seul hic : les dérapages d’internautes s’invitent dans le quotidien des politiciens. «On se fait ramasser pas à peu près. On n’est pas épargné», souligne Isabelle Thériault, députée libérale provinciale de Caraquet. Mme Thériault avoue qu’elle doit parfois supprimer des messages haineux sur ses réseaux sociaux. La gestion de ceux-ci n’est pas de tout repos. «Ça prend énormément de temps à gérer. Je ne vais pas passer des heures là-dessus.» Même coup de sonde pour Megan Mitton, députée provinciale de la circonscription de Memramcook-Tantramar pour le Parti vert. «C’est important de surveiller ce qui se passe parce qu’il peut y avoir des trolls. Ma plus grosse préoccupation est que les fausses informations ne se propagent pas.» Les trolls sont des personnes qui publient des messages tendancieux sur les plateformes web dans le but de créer des polémiques. Il faut garder un œil sur ses pages, font remarquer les députés. Néanmoins, Mme Mitton évite de lire les commentaires haineux à son égard pour son bienêtre. Elle a d’ailleurs dû embaucher un gestionnaire des réseaux sociaux.. Lire l’article dans son intégralité sur le site du journal Acadie Nouvelle Partager Imprimer