Écoles fransaskoises 30 avril 2015 Des parents inquiets se rencontrent à huis clos Un manque de services et de ressources dans les écoles fransaskoises est pointé du doigt Des parents d'élèves inscrits dans le système scolaire fransaskois se sont réunis le samedi 25 avril dernier pour témoigner de leurs inquiétudes face aux nombreuses coupures de services aux élèves des écoles fransaskoises.
30 avril Immigration Danse et élégance au programme Gala Culturel Africain 2015 à Saskatoon Festivités de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan du 25 avril 2015 à Saskatoon.
Le monde des contes et légendes La 10e édition des Journées du patrimoine Cette année, les Journées du patrimoine poursuivent leur parcours en s’ancrant dans le folklore canadien-français,...
La Cour suprême donne raison aux parents francophones de Colombie-Britannique La Cour suprême a confirmé le 24 avril le droit des francophones à des établissements équivalents à...
Une trahison économique, selon le NPD La CCB sera détenue par une entreprise appartenant en partie à des Saoudiens WINNIPEG Le gouvernement canadien a fait un pas de plus vers la privatisation de la Commission canadienne du blé (CCB) en concluant...
« On va devenir un groupe de bénévoles, il n’y aura plus d’employées ». –... Perte de financement à la FPF : repenser les façons de faire REGINA - Il y avait consensus autour de la table, à l'AGA de la FPF: elle doit continuer d’exister, du moins la philosophie...
18 février 2019 Simb Simb 41715 Archives, 2019, Communautaire, Regina, Société, Immigration, Mon métier, ma passion Job Wilfried Coffi Comlan: Du Bénin à Regina Gens d'ici Job Wilfried Coffi Comlan REGINA - Arrivé au Canada il y a moins de 6 mois, Job a vécu pendant 2 mois dans la province de Québec avant de s’installer en Saskatchewan, et plus précisément dans la ville de Regina. Job est né et a grandi dans la capitale du Bénin, Cotonou. Après ses études secondaires, il opte pour une formation universitaire qui sera couronnée par une licence (équivalente au baccalauréat du Canada) en finance et comptabilité. Job avoue que « c’est l’exploration de nouveaux cieux ainsi que la recherche de nouvelles conditions de travail » qui ont pesé lourd dans son choix d’immigration. Mais « une fois au Québec, mon premier objectif a été de trouver un emploi dans mon domaine de prédilection et de formation, à savoir la gestion en finance et comptabilité. Mais j’ai dû faire face à un obstacle, l’exigence du bilinguisme », ajoute-t-il. Job quittera donc le Québec pour la Saskatchewan afin d’améliorer son anglais, car selon lui, vivre dans un contexte purement anglophone l’aidera à améliorer son niveau de langue anglaise. Comme pour dire qu’il faut reculer pour mieux sauter. Actuellement, Job occupe un poste de moniteur de langue française dans des écoles d’immersion française. Il faut dire que ce nouvel emploi a fait naître en lui la nostalgie de l’enseignement, une profession pour laquelle il nourrissait d’ailleurs l’espoir d’exercer depuis le Bénin. Ce qui du coup l’amène à penser à une réorientation de carrière : « La probabilité est forte que je fasse un bac en éducation pour intégrer le monde de l’enseignement. » Son adaptation climatique se fait non sans difficulté, car partir d’un pays excessivement chaud pour un pays démesurément froid n’est pas du tout facile à gérer. Parlant de son adaptation culturelle, il a été frappé par le côté sociable des Saskatchewanais et francophones d’ici. L’objectif premier de Job est de mener à bien la réunification familiale, car sa petite famille étant restée au Bénin, il s’est avancé pour lui préparer une place à ses côtés au Canada. Partager Imprimer