23 avril Communautaire Fonds publics et organismes porte parole francophones La diversification du financement permettrait aux organismes de mieux servir la population francophone que ne le fait le gouvernement. Mais en...
Essoufflement à la FPF : quel avenir pour les « dossiers femmes » dans la communauté? Que signifie être une femme dans le milieu associatif fransaskois et quel rôle pouvons nous jouer dans les différentes...
Faute de financement, la SHS ne participera pas au projet de vignettes... La Société historique se retire du partenariat avec le Government House
Quand solidarité communautaire rime avec plaisir 27e Hoedown à Bellegarde BELLEGARDE - Le 14 mars dernier, à Bellegarde, se déroulait le 27e Country Hoedown. C'est la soirée idéale...
L'ACFR a 50 ans : ça se fête! Pour célébrer son 50e anniversaire, l’ACFR ne chômera pas et offrira une multitude d’activités pour les...
16 octobre 2021 Lucas Pilleri 8552 Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises, Histoire et patrimoine La genèse d'un demi-siècle d’actualités fransaskoises Le 12 octobre 1971, le journal fransaskois L’Eau vive voyait le jour. Sur huit pages modestes, la « publication des francophones de la Saskatchewan » tout juste naissante présentait ses premiers sujets, soulignant les enjeux qui animaient alors la communauté fransaskoise. Des enjeux qui, cinquante ans plus tard, n’ont pas pris une ride. Accès à l’éducation, maintien de la vitalité culturelle, développement du lien avec le Québec, lutte contre l’assimilation linguistique… La rédaction vous propose de plonger dans l’actualité brûlante de la fransaskoisie d’il y a un demi-siècle avec des extraits de ce tout premier numéro. Votre bimensuel favori poursuit ainsi l’aventure éditoriale lancée en 1971 ! Le tout premier édito, signé Marcel Moor, premier directeur et rédacteur en chef de l’Eau vive. Le président de l’Association culturelle franco-canadienne de la Saskatchewan, ancêtre de l’Assemblée communautaire fransaskoise actuelle, conditionnait la survie du journal au soutien de ses lecteurs. Une réalité qui, il ne pouvait s’en douter, n’a pas vieilli à l’ère du numérique. Les Fransaskois se demandaient déjà, en 1971, comment assurer la pérennité de leur culture et identité, comment dynamiser leur vie culturelle et communautaire, et comment assurer la relève. L’éducation en français, un défi d’antan qui perdure… La question de la relève occupait déjà les esprits il y a 50 ans. Les rapports entre l’Ouest et l’Est canadiens ont de tout temps constitué un enjeu, que ce soit en agriculture ou dans d’autres domaines. Partager Imprimer