23 avril Communautaire Fonds publics et organismes porte parole francophones La diversification du financement permettrait aux organismes de mieux servir la population francophone que ne le fait le gouvernement. Mais en...
Essoufflement à la FPF : quel avenir pour les « dossiers femmes » dans la communauté? Que signifie être une femme dans le milieu associatif fransaskois et quel rôle pouvons nous jouer dans les différentes...
Faute de financement, la SHS ne participera pas au projet de vignettes... La Société historique se retire du partenariat avec le Government House
Quand solidarité communautaire rime avec plaisir 27e Hoedown à Bellegarde BELLEGARDE - Le 14 mars dernier, à Bellegarde, se déroulait le 27e Country Hoedown. C'est la soirée idéale...
L'ACFR a 50 ans : ça se fête! Pour célébrer son 50e anniversaire, l’ACFR ne chômera pas et offrira une multitude d’activités pour les...
8 décembre 2022 La Cité universitaire francophone 5063 La Cité universitaire francophone BACCALAURÉAT COLLABORATIF EN SCIENCES INFIRMIÈRES OPTION BILINGUE « Entre nous et avec nos enseignant(e)s, le programme bilingue offre beaucoup plus de soutien que le programme régulier! Le fait d’avoir une cohorte plus petite aide à mieux se connaître et à développer un bon esprit d’équipe. Le programme bilingue ouvre beaucoup de portes, que ce soit après les études ou au niveau des bourses. » — Sabrina Michaud, diplômée de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Dès la première année, nos étudiant(e)s apprennent sur le terrain, auprès des patients. Cela leur permet de directement prendre conscience de l'importance de comprendre et de soigner leurs patients dans leur langue maternelle. En situation de besoins de santé, il est difficile de s'exprimer dans une langue étrangère. Avoir des infirmières bilingues dans notre province garantit des soins de meilleure qualité, et plus personnalisés ! » — Tess Timmermans, coordinatrice de l'option bilingue du Baccalauréat collaboratif en sciences infirmières « Le succès de nos finissant(e)s montre qu’il est possible de poursuivre des études universitaires en français sans quitter la province. » — Emmanuel Aito, Doyen de la Cité Universitaire Francophone Partager Imprimer