Prince Albert 5 mars 2015 Randonnée en raquettes pour une classe de 3e année de l'École Valois de Prince Albert PRINCE ALBERT - Quel cours d’éducation physique peut-on proposer à une classe de 3e année lorsque la neige est abondante et molle? Une randonnée en raquettes bien sûr, dans le magnifique parc de Little Red River.
5 mars Politique "J'ai fait ce que j'ai pu." Maria Chaput recourt à Graham Fraser dans le dossier du Fonds pour les journaux communautaires La lutte de trois ans de la sénatrice manitobaine Maria Chaput, pour corriger les défaillances du programme fédéral...
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Le camp KINASAO : petit bijou méconnu de Chistopher Lake C’est un dimanche matin, vous sortez du lit après une bonne nuit de sommeil. Vous vous rendez compte qu’il fait beau. Vos...
Un voyage mémorable avec Air Canada Voyager avec Air Canada peut être toute une aventure. C’est ce que j’ai vécu dernièrement. Je devais assister...
5 à 7 familial au Relais : on troque ses trucs! SASKATOON - Le vendredi soir, le Relais est d’ordinaire le royaume de la poutine et de la bonne bière. Mais à l’occasion...
18 février 2019 Simb Simb 41669 Archives, 2019, Communautaire, Regina, Société, Immigration, Mon métier, ma passion Job Wilfried Coffi Comlan: Du Bénin à Regina Gens d'ici Job Wilfried Coffi Comlan REGINA - Arrivé au Canada il y a moins de 6 mois, Job a vécu pendant 2 mois dans la province de Québec avant de s’installer en Saskatchewan, et plus précisément dans la ville de Regina. Job est né et a grandi dans la capitale du Bénin, Cotonou. Après ses études secondaires, il opte pour une formation universitaire qui sera couronnée par une licence (équivalente au baccalauréat du Canada) en finance et comptabilité. Job avoue que « c’est l’exploration de nouveaux cieux ainsi que la recherche de nouvelles conditions de travail » qui ont pesé lourd dans son choix d’immigration. Mais « une fois au Québec, mon premier objectif a été de trouver un emploi dans mon domaine de prédilection et de formation, à savoir la gestion en finance et comptabilité. Mais j’ai dû faire face à un obstacle, l’exigence du bilinguisme », ajoute-t-il. Job quittera donc le Québec pour la Saskatchewan afin d’améliorer son anglais, car selon lui, vivre dans un contexte purement anglophone l’aidera à améliorer son niveau de langue anglaise. Comme pour dire qu’il faut reculer pour mieux sauter. Actuellement, Job occupe un poste de moniteur de langue française dans des écoles d’immersion française. Il faut dire que ce nouvel emploi a fait naître en lui la nostalgie de l’enseignement, une profession pour laquelle il nourrissait d’ailleurs l’espoir d’exercer depuis le Bénin. Ce qui du coup l’amène à penser à une réorientation de carrière : « La probabilité est forte que je fasse un bac en éducation pour intégrer le monde de l’enseignement. » Son adaptation climatique se fait non sans difficulté, car partir d’un pays excessivement chaud pour un pays démesurément froid n’est pas du tout facile à gérer. Parlant de son adaptation culturelle, il a été frappé par le côté sociable des Saskatchewanais et francophones d’ici. L’objectif premier de Job est de mener à bien la réunification familiale, car sa petite famille étant restée au Bénin, il s’est avancé pour lui préparer une place à ses côtés au Canada. Partager Imprimer