4 mars Conseil des écoles fransaskoises Le Conseil des écoles fransaskoises pleure le décès soudain d’un de ses élèves St-Isidore-de-Bellevue, le 4 mars 2015 - Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) - en particulier la communauté scolaire de...
Postsecondaire L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan
Les Autochtones devraient toucher des redevances sur les richesses naturelles Les peuples autochtones devraient toucher leur part des redevances tirées des richesses naturelles que recèlent leurs territoires,...
L'interprète de M. Spock dans Star Trek, Leonard Nimoy, est décédé Leonard Nimoy, l'interprète de M. Spock dans la série télévisée et les films de "Star Trek", est...
Bhoutan - Au pays du Bonheur national brut Le Royaume du Bhoutan est une monarchie constitutionnelle où le bouddhisme est la religion d’État. De la taille de la Suisse, ce pays de 750...
Colloque de la Fédération des aînés fransaskois et de l'Association des... À Saskatoon : Ensemble pour assurer les droits, la sécurité et la dignité des aînés Une cinquantaine de personnes ont participé, les 20 et 21 février 2015 à Saskatoon, à une fin de semaine de travail...
17 février 2020 AJEFS 29244 Société, Femmes, Chronique juridique L’affaire personne: Les droits des femmes au Canada Jusqu’à la fin du 19e siècle, les femmes mariées n’avaient pas le droit de posséder de propriété. Au moment de l’affaire « personne », les femmes dans la plupart des provinces canadiennes venaient tout juste d’obtenir le droit de vote. Par exemple, les femmes du Manitoba, de la Saskatchewan, de l’Alberta et de la Colombie-Britannique n’ont pas obtenu le droit de vote avant 1917. Et ce n’est que deux ans plus tard qu’elles ont obtenu le droit de vote aux élections fédérales. Même si les choses changeaient, en 1927 les droits des femmes n’étaient toujours pas établis. En 1927, cinq femmes de l’Alberta voulaient faire progresser les choses plus rapidement. Emily Murphy, Henrietta Muir Edwards, Nellie McClung, Louise McKinney et Irene Parlby ont amené leur cause à la Cour suprême du Canada. La question était de savoir si les femmes étaient comprises dans l’interprétation légale du terme « personne ». À cette époque, l’article 24 de la Loi sur l’Amérique du Nord britannique de 1867, stipulait que seulement « des personnes ayant les qualifications voulues » pouvaient faire partie du Sénat. La Cour suprême du Canada avait alors décidé que le mot « personne » excluait les femmes. Les « Célèbre cinq » ont alors porté leur cause en appel au Comité judiciaire du Conseil privé britannique, le plus haut tribunal d’appel au Canada à l’époque. Le 18 octobre 1929, la décision est annoncée par Lord Sankey, grand chancelier de Grande-Bretagne, en leur faveur, reconnaissant que les femmes étaient éligibles à devenir sénatrices. La décision mentionnait : « L’exclusion des femmes de toute charge publique est un vestige d’une époque plus barbare. Aux personnes qui se demandent si le mot « personne » doit comprendre les femmes, la réponse est évidente, pourquoi pas? » Besoin d’information juridique? Visitez le site saskinfojustice.ca ou contactez l'Association des juristes d'expresssion française de la Saskatchewan : 1 855-924-8543 / centre@saskinfojustice.ca Balises L'Affaire personne Partager Imprimer