Immigration 26 février 2015 Mois de l'histoire des Noirs: Viola Davis Desmond, la Rosa Parks canadienne
26 février Musique Willows: franchise et chaleur humaine Geneviève Toupin se réinvente sous le nom de plume Willows. Au bout de l'écoute du troisième album de la...
Colloque organisé par la FAF et l'AJEFS à Saskatoon Une fin de semaine dédiée aux droits et à la sécurité des aînés SASKATOON - Le colloque “Ensemble pour assurer les droits, la sécurité et la dignité des aînés”...
Une fin de semaine au festival d’hiver de Prince Albert PRINCE ALBERT - Sous le regard bienveillant de monsieur et madame hiver, le 51e festival d'hiver de Prince Albert a battu son plein du 12 au 22...
Projet de loi C-51 : une loi des mesures de guerre permanente? Le projet de loi antiterroriste C-51 fait beaucoup jaser chez ceux qui ont à cœur nos libertés civiles. C’est une loi...
Saskatoon fête « le Mois de la famille en mouvement » Février est peut-être le mois le plus court de l’année, il n’en est pas moins rempli d’activités! En...
10 novembre 2021 Estelle Bonetto 16330 ENP - Éditions de la nouvelle plume, Chroniques, Horizons - Chronique littéraire À fleur d’âge Crédit : Estelle Bonetto (Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018) À fleur d’âge Et si chaque âge avait sa fleur ? Le laisse-t-on fleurir sur sa tige ou le cueille-t-on dans sa splendeur ? À la conquête de l’intangible prestige, j’ai longtemps sillonné les jardins insouciants, explorant les vestiges des jeunesses jaunies par les soleils éblouissants. Au gré de mes errances, de sa robe vêtue de pans de pétales vermeils, elle m’est apparue. Devant la finesse dévoilant sa délicatesse, j’ai contemplé la cueillaison de la raison : une femme en liesse, se délectant du fruit de sa fleuraison. Le baiser du boulanger Nos levains se sont effleurés avant de fondre sous les braises de la chapelle du four en foudre. Nous avons embrasé les flammes du fourneau, prêté ferment dans les fumées en anneau. Puis… J’ai déchiré ta croûte comme une robe qu’on arrache sans le moindre doute. J’ai porté à mes lèvres ta sapidité, les rondeurs de ta féminité. Je n’ai fait de toi qu’une bouchée. Partager Imprimer