Société 12 février 2015 Billet d’humeur : La Saint-Valentin, ça vaut plus rien? Une fois n’est pas coutume : ce billet d’humeur sera un billet de bonne humeur! Eh oui, on y est : c’est la fête des amoureux! Que vous fêtiez la Saint-Valentin ou la Sans Valentin, découvrez-en un peu plus sur cette journée.
12 février Immigration Harriet Tubman, la Moïse noire Février est le mois de l’Histoire des Noirs au Canada. C’est l’occasion de mettre en avant le parcours...
Une première partie de Colter Wall bien appréciée Scott Richmond en toute intimité à Regina C’est le vendredi 6 que Scott Richmond remontait sur la scène réginoise au Artful Dodger Café. La première...
Petites joies hivernales à Prince Albert Prince Albert et sa région proposent beaucoup de possibilités d’activités durant l’hiver : Little Red River offre...
Un samedi placé sous le signe du Carnaval d’hiver à Saskatoon Destination incontournable chaque année au mois de février, le Carnaval de la Fédération des Francophones de Saskatoon...
Carnaval Mardi Gras fransaskois à Gravelbourg GRAVELBOURG - La communauté de Gravelbourg a festoyé grandement pendant la fin de semaine des 6, 7 et 8 février dans le cadre...
18 février 2019 Simb Simb 41652 Archives, 2019, Communautaire, Regina, Société, Immigration, Mon métier, ma passion Job Wilfried Coffi Comlan: Du Bénin à Regina Gens d'ici Job Wilfried Coffi Comlan REGINA - Arrivé au Canada il y a moins de 6 mois, Job a vécu pendant 2 mois dans la province de Québec avant de s’installer en Saskatchewan, et plus précisément dans la ville de Regina. Job est né et a grandi dans la capitale du Bénin, Cotonou. Après ses études secondaires, il opte pour une formation universitaire qui sera couronnée par une licence (équivalente au baccalauréat du Canada) en finance et comptabilité. Job avoue que « c’est l’exploration de nouveaux cieux ainsi que la recherche de nouvelles conditions de travail » qui ont pesé lourd dans son choix d’immigration. Mais « une fois au Québec, mon premier objectif a été de trouver un emploi dans mon domaine de prédilection et de formation, à savoir la gestion en finance et comptabilité. Mais j’ai dû faire face à un obstacle, l’exigence du bilinguisme », ajoute-t-il. Job quittera donc le Québec pour la Saskatchewan afin d’améliorer son anglais, car selon lui, vivre dans un contexte purement anglophone l’aidera à améliorer son niveau de langue anglaise. Comme pour dire qu’il faut reculer pour mieux sauter. Actuellement, Job occupe un poste de moniteur de langue française dans des écoles d’immersion française. Il faut dire que ce nouvel emploi a fait naître en lui la nostalgie de l’enseignement, une profession pour laquelle il nourrissait d’ailleurs l’espoir d’exercer depuis le Bénin. Ce qui du coup l’amène à penser à une réorientation de carrière : « La probabilité est forte que je fasse un bac en éducation pour intégrer le monde de l’enseignement. » Son adaptation climatique se fait non sans difficulté, car partir d’un pays excessivement chaud pour un pays démesurément froid n’est pas du tout facile à gérer. Parlant de son adaptation culturelle, il a été frappé par le côté sociable des Saskatchewanais et francophones d’ici. L’objectif premier de Job est de mener à bien la réunification familiale, car sa petite famille étant restée au Bénin, il s’est avancé pour lui préparer une place à ses côtés au Canada. Partager Imprimer